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N'ATTENDEZ PAS LE 22ème siècle POUR ECOUTER LA MUSIQUE DU 21ème siècle !

——————— Don't wait till the 22nd century to listen to 21st century music ! ———————

♪♫♪♫♪♫♪

... Et pour vous récompenser, mesdames & messieurs, d'avoir sûrement galérer un jour (ou plus) avec votre matériel informatique
(Forcément... il a fallu tout installer, et on sait ce que c'est... Même si c'est pour "la bonne cause" : la CYBEREVOLUTION !
Oui, on sait, "c'est dur, la culture" [sic] ; et "ça se mérite, la moule-frites" [etc] Enjoy !)

Voici de la musique décompressante (bien que compressée)
sincère et joviale,
quasi inédite, car encore inconnue sous ces latitudes terrestres, qui nous vient des bas-fonds de Old Orleans,
comme des flancs menaçants de l'unique Soufrière guadeloupéenne,
doucement conçue et alambiquée dans des oasis bretons, ou arrachée aux stridences des steppes picardes,
pour vous spécialement, encore humide d'émotion acoustique vintage, ou effroyablement
décryogénisée spécialement à votre intention,
après des années d'hibernation secrète, là, toute fumante et zébrée de ses crépitements fluorescents,
à moins qu'à peine sortie de nos tout-derniers conapts biotroniques Low-Tech, s'exhale un incroyable florilège sonique,
avec par ici, formidable attelage, la quintessence scintillante de notre légendaire régie itinérante !
Messieudâmes, plus que quelques clicks, et le rideau rouge de la Toile va s'entrouvrir devant nous sur la porte de l'Eden !
[ no cricri ]
Ladies and gentlemen,
(Because you surely got stuck with your computer kit one day [...])
We grant you with some relaxing, sincere and earthly music, almost knew, because still unknown under those terrestrial latitudes that comes from downtown Old Orleans, as from the threatening sides of the one and only guadaloopean Soufriere, softly concieved in the Britton oasis or stripped from the acute sounds of the steppen lands from Picardy.
For you especially, still pregnant with wet acoustic vintage emotion or horridly decryonised for you, after years of secret hibernation, still smoky and striped with fluorescent bursts unless almost come out from our latest low-Tech biotronic conapts breathes out an incredible sonic florilege, and here again, an outstanding outfit, the twinkling quintessence of our legendary moving circus.
Ladies'n'gentlemen, only a few clicks to go and the wordwide web red curtain is about to unfold before your very eyes onto the Gates of Eden.

 



(...extrait de la harangue usuelle)

 

Ici c'est souvent compacté à 16 000 Khz et en mono parfois, mais les morceaux sont en entier  (sauf un...)
Here it is often compressed to 16000 Khz sometimes monophonic but the tunes are uncut (but one)

Tout titre exclusif (c) Fairline 1982->2002

(Parce qu'on peut toujours améliorer le son, sur son player ou sa chaîne, mais on ne peut pas continuer la suite d'un morceau avorté. Le plus souvent, c'est impossible d'imaginer la suite, coupée net ! Alors, c'est irrémédiablement gâché. Et ça, on dirait que c'est sans importance, mais ici, ça fait sourciller.)

(Because the sound can always be improved on one's player or stereo but an aborted set cannot be continued. Most often the following bit cannot be thought over, cut sharp. Then it is totally wasted. Even if it seems matterless, here it does matter.)


EDITO :

> CONTRER LE  DENI  CULTUREL  PERMANENT <

 

A propos du saucissonnage de la musique :

(extrait d'un courriel envoyé à des chaînes de TV :)

[...] " Quand on s'est permis de charcuter les duos d'anthologie de notre patrimoine, en sucrant deux couplets de Piaf, ou le refrain d'Eddy Mitchell (etc.) et en bousculant là l'audience pourtant garantie, acquise d'avance, et bien on évite de prétendre donner des leçons de savoir vivre par ailleurs...
"Sacrilège" que ce crime de lèse-majesté symptomatique d'une impatience bornée, vénale, qui fait de sa superficialité un "canon". Dogmatisant dans l'ombre, impersonnel et clinique, le normatif calibre au burin, standardise à froid, tout en malmenant gaillardement la syntaxe (re)constituante (donc identitaire)
Casser ET la
magie musicale (quasi biologique, certes, pour les cartésiens) ET la jouissance du SENS (dont la perte est "très tendance" en ce moment) : si les coups de cutter disparaissent vite, les impacts restent. C'est cruel ; pas sympathique.
Respect pour les auteurs, pareillement que celui accordé aux beaux-parleurs professionnels, c'est trop vous demander ?
En évitant de rompre la cohérence des paroles, tout en préservant l'harmonie, dans nos neurones habitués à ces repères festifs, (des mélodies qui, si elles ont tant duré, devaient avoir des qualités apparemment insoupçonnés sur les bancs de montage)
redonnez-nous l'usufruit de la création artistique, ou passez à autre chose...
(Du foot par exemple... ça se charcute mieux) ; parce que le "collage" (en anglais dans le texte...) c'est un art, aussi ! ("C'est un métier", comme on dit).
Mais qui donc zap ma télé ? Evitez de vous assoir sur ma télécommande, SVP.

 
              - Tu l'crois ça ?!

Où !?

"Je vous parle d'un temps
que les moins de 20 ans
ne peuvent pas connaître
Montmartre en ce temps-là
accrochait ses lilas

(-couic ! bzzz-)
Cut !
Et là, des millions de consciences patinent ! Mentalement on lit là une suite, mais, hélas, perdue dans la confusion qui caracole ...

Les guillemets ne seront jamais refermés ! Malgré le fameux geste rituel, de tous ces gens qui grattent le ciel avec deux doigts de chaque main, comme des signaux de détresse... ;-)
Vite chercher une emprise sur le vide. Eviter de "dévisser" !


mess (nm) : désordre m; confusion f; (le bordel, quoi !)
cf. "Rebel Rebel, I think it's a mess" (David Bowie)

 ( Un pamphlet musical, c'est aussi ce que se proposerait d'illustrer ce site ...)

Etalonnage utile, conformation technique, ou déstructuration hâtive ?

Un moment de musique permet de mettre en place une certaine ambiance, une alchimie lente et obscure, subtilement efficace : une métamorphose, catégorique, ancestrale, se met invariablement en place, car c'est par ses circonvolutions harmonieuses, dans les méandres des affects, que le son opère sur l'âme.

 


Google
 

vers le juke-box :
suite
(en passant par la lecture de la page 2)
haut de page
" Maintenant que le temps d'un moment s'est consumé Un ange passe ... se prélasse, les yeux clos tu l'sens passer Tu prends conscience que tu nais jamais jamais content de toi Maintenant que le temps d'un moment est consommé Un ange passe ... qui menace, les yeux clos tu l'sens passer Laisses aller, c'est le temps [tic tactique...] qui tourne mal"
(extrait de "Nuit Blanche")

>>> le groupe élu du moment :" Félix Goudart & les Juvéniles"


 

 

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